Une marque active dans l’e-commerce en 2020 n’a jamais autant investi dans son support médiatique offline : plus d’un demi-million d’euros en valeur brute moyenne par marque. Quant au média-mix, il est très clairement dominé par l’audiovisuel.
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L’enquête MDB/Nielsen note la différence entre la valeur médiatique investie dans le nord et le sud de la Belgique. En ce qui concerne 2020, on observe une diminution plus faible dans le sud, mais les taux d’évolution ne sont pas exceptionnels.
Une étude réalisée par TVision, Lumen Research et Ebiquity évalue « le véritable coût de l’attention en publicité ». L’une des conclusions les plus frappantes est qu’ « une pub vidéo sur Facebook, c’est comme de l’affichage digital ».
Ce Space Essentials fait le point sur la valeur des investissements dans les médias offline en Belgique en 2020. La source des données est l’enregistrement quantitatif de la publicité MDB de Nielsen. Globalement, une baisse de 15% est enregistrée.
En Grande-Bretagne, les éditions numériques des marques de presse sont soumises à des règles d’exclusion dans le cadre des mesures de brand safety. Reach Solutions a étudié l’impact sur les marques de presse si elles signalent des contenus choquants.
Le Reuters Institute de l’Université d’Oxford vient de publier ses prédictions pour 2021. Les revenus principaux proviendront cette année des utilisateurs, via les abonnements payants. La publicité (comme le display ou le native) ne vient qu’ensuite.
Mindshare prend la tête du classement UMA devant Space. En troisième position se trouve UM qui change de position avec Initiative. Dans le classement des groupes, GroupM conserve sa position de leader, devant Mediabrands et Space.
Dans l’étude « Médias : attitudes et perceptions », le CSA a examiné si le contenu vidéo est regardé de manière exclusive ou non. Les résultats indiquent une fréquence du multitâche médiatique faible, mais qui se produit le plus souvent devant la TV.
L’UMA a affiné son benchmark pour l’investissement numérique au cours du troisième trimestre 2020 en définissant 44 secteurs. Jusqu’au premier semestre 2020, la répartition sectorielle était limitée aux 15 “macro-secteurs” de la Media Data Bank.
En 2018, l’étude “Réévaluation des médias” a montré des différences significatives entre les perceptions de l’efficacité des différents médias et leur efficacité avérée. Ce baromètre du marché britannique a été répété fin 2020.