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La BAM, en collaboration avec la DMA et l’UMA, a lancé la nouvelle édition de l’étude Matrix. L’étude de base sur la mesure des dépenses publicitaires numériques est complétée par deux sections supplémentaires sur les données et le marché direct.

Afin de répondre à l’évolution de la consommation des médias, le CIM a connu de nombreuses évolutions au cours de l’année écoulée. En 2020, les différentes études continueront à mettre l’accent sur l’innovation.

Regarder au-delà des frontières. Voilà l’objectif de la CommPass Session du 8 octobre. Sjoerd Pennekamp, Bernard Cools et Stéphanie Radochitzki ont pris la parole à RTL House, avec Wout Dockx comme médiateur. MediaSpecs vous résume cette matinée.

Avec une part de 40 % des dépenses média totales, le numérique semble désormais mature dans notre pays. C’est la conclusion que l’on peut tirer de la neuvième édition de l’étude Matrix, organisée par la Belgian Association of Marketing.

Sur dix euros alloués aux médias en Belgique, quatre vont aux canaux numériques. Cela dit, les objectifs semblent souvent se limiter à l’activation et l’on peut se demander si ces 40% constituent un plafond.

Le mois passé, plusieurs spécialistes média expérimentés ont changé de job: Stéphanie Radochitzki, Olivier De Temmerman, Claudia Pacitti et Timothy Loute.

Elle supervisera le développement de stratégies digitales pour les grands comptes au sein de l’équipe Strategy, sous la direction de Cédric Tytgat.

Dans le nouveau Space Essentials, Bernard Cools (Chief Intelligence Officer) et Stéphanie Radochitzki (Digital Strategy Manager) passeront en revue 7 mythes sur la publicité digitale, appliqués à un contexte belge.

Le jeudi 21 septembre de 9h à 13h30, le GRP organise à nouveau un Symposium à BluePoint Brussels. Les orateurs sont Stéphanie Radochitzki, Matthias Matthiesen, Mic Adam, Davy Caluwaerts et Jeroen Verkroost.

En 2016, les annonceurs belges ont investi un tiers de leur budget média en moyenne dans des touchpoints numériques. C’est ce qui ressort de l’étude Matrix de l’IAB. Dans la foulée, la part de la publicité programmatique continue à grimper.