Kantar vient de partager des insights issus de son enquête qui a été menée auprès d’un échantillon de consommateurs et 929 professionnels du marketing. Deux dilemmes sont pointés : le dilemme digital et l’innovateur.
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Le Radio Stream Monitor suit la distribution de la radio en ligne belge sur toutes les plateformes de streaming. La crise du coronavirus a entraîné une augmentation du nombre de sessions audio actives, mais l’effet Covid semble s’estomper.
L’étude de référence du CIM RAM a évidemment été impactée par la crise sanitaire, notamment pour la collecte des données. Le coronavirus a également affecté les résultats, mais pas dans une mesure critique.
Depuis 2020, l’étude CIM RAM comprend également une série de questions sur les habitudes audio. Comme prévu, l’écoute traditionnelle de la FM est en déclin. Cependant, le remplacement par le DAB+, plus moderne, est loin d’être spectaculaire.
Les données MDB Nielsen consolidées sont disponibles pour les 6 premiers mois de 2021. Globalement, on constate une augmentation par rapport à 2020, mais les investissements restent beaucoup plus bas qu’en 2019. Parler de relance reste donc relatif.
La publicité fait payer un lourd tribut au visionnage en différé, ce qui a un impact sur les revenus des diffuseurs concernés. D’où l’idée d’étendre la publicité obligatoire au replay. Il y a toutefois des limites à ce plan.
On parle beaucoup de podcasts comme une tendance lourde dans l’évolution de la consommation des médias. L’Audio Observer d’IP s’intéresse aussi aux podcasts, mais se démarque des autres sources.
Le Digital News Report de l’Institut Reuters est une bible par rapport à pas mal de sujets : consommation des médias en général et de l’information en particulier, attitudes par rapport aux médias d’information, etc.
L’Euro 2020 donne une forte impulsion à la télévision linéaire et live. Trois fois de suite, les matchs des Diables Rouges ont atteint plus de 3 millions de téléspectateurs. Mais ce succès était-il prévisible? Space a fait le test.
L’Euro 2020 est une bénédiction pour la couverture TV live et une malédiction pour les chaînes qui ne le diffusent pas. L’inventaire publicitaire se réduit donc, surtout du côté néerlandophone où aucune chaîne commerciale ne diffuse les matchs.