Des médias traditionnels vers le digital. Des recettes publicitaires vers les abonnements. Une question : quels nouveaux chemins doivent prendre les éditeurs ? MediaNet Vlaanderen a organisé un Smart Media Meetup le 22 octobre pour répondre à cela.
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Le WOW Magpack comprend 4 titres : Femmes d’Aujourd’hui, Libelle, Ciné-Télé-Revue et Dag Allemaal. Suite au succès rencontré, l’initiative commune se voit prolongée jusqu’au 31 décembre 2020. Les conditions restent les mêmes.
Les marques de Roularta Knack Weekend, Le Vif Weekend, Feeling, Gael, Flair, Libelle et Femmes d’Aujourd’hui ont uni leurs forces et ont demandé à leurs lecteurs de mieux comprendre le paysage de la mode belge.
Roularta Media lance le département Strategy & Innovation qui proposera des services créatifs, innovants et stratégiques à l’intention des annonceurs. Ce nouveau département sera dirigé par Mark Daemen.
L’éditeur de Flair, Le Vif et De Zondag, entre autres, estime que la crise du coronavirus leur a coûté 20,6 millions d’euros de chiffre d’affaires. Le revenu plus élevé issu des abonnements est une lueur d’espoir.
Récemment, Roularta Media a lancé une formule Content To Commerce (CTC) qui permet aux annonceurs de publier facilement leurs publications issues des réseaux sociaux sur les sites Roularta, à la fois sur ordinateur et sur mobile.
Roularta constate que le nombre d’utilisateurs sur son site Libelle-lekker.be a augmenté. En effet, l’engouement autour de la cuisine en ces temps de confinement a presque doublé le nombre de visiteurs par rapport à l’année passée à la même période.
PUB a demandé à quelques régies comment elles vivaient le confinement. Après Denis Masquelier la semaine dernière, c’est maintenant au tour de Philippe Belpaire, directeur général de Roularta Media.
Le paysage médiatique belge est dans une période très difficile. L’UBA souhaite privilégier la solidarité et a interrogé les régies et les éditeurs sur les initiatives proposées.
Roularta a augmenté son chiffre d’affaires de 6,8%, à 295,8 millions d’euros l’an dernier. Les magazines féminins repris par l’entreprise à Sanoma début 2018 ont assuré une hausse des revenus grâce aux abonnements et aux ventes individuelles.